“Nous sommes d’avis qu’avant d’établir toutes formes de politiques dans le domaine des relations interculturelles, il faut d’abord en savoir davantage sur ce qui se passe dans la vie de tous les jours à Montréal. Il nous faut mieux connaître, non seulement les pratiques des citoyens, mais aussi celles des différentes personnes qui interviennent auprès d’eux. Nous sommes persuadés que, pour qu’une approche interculturelle puisse s’épanouir au Québec, nous avons besoin de réunir nos forces dans plusieurs domaines et nous connaître davantage.”
Dans quelques jours Jorge Frozzini et Bob White vont publier un court rapport de synthèse pour l’atelier et vont inviter les participants de la journée à répondre par l’intermédiaire du blogue. Alors des nouvelles à venir…