Yara El-Ghadban, chercheuse affiliée au LABRRI, a récemment été invitée à participer à un article, La littérature pour bâtir des ponts, publié dans le quotidien La Presse.
L’article, signé par Nathalie Collard et publié le 5 février dernier, propose des pistes de réflexion pour faire de la littérature un outil facilitant l’ouverture à la différence et l’échange.
Yara El-Ghabran est romancière, anthropologue et musicienne. Elle a publié son premier roman, L’ombre de l’olivier, en 2011 et son deuxième, Le parfum de Nour, en 2015. Dans cet article, elle nous parle de son expérience comme romancière québécoise, issue de l’immigration, ainsi que de la nécessité d’avoir des lieux de rencontres, autour de la littérature.
Ces questions sont aussi discutées par Ouanessa Younsi, écrivaine et psychiatre, Lilyane Rachédi, professeure à l’école de travaille social de l’UQAM et Aziz Farès, écrivain et journaliste.